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2017/10/07

Métaphysique théorique



- Je me suis toujours demandé comment les chercheurs effectuaient leurs découvertes.
- Un jour, j'ai dit à Souriau : "Ces trucs de maths que tu as mis à jour sont incroyablement sophistiqués. Où vas-tu chercher des trucs pareils?" Il m'a répondu: "Mais dans mes rêves, la nuit, comme tous les mathématiciens."
- Dans ses rêves ?
- Il pensait que quand on rêve, on est vraiment ailleurs, dans un autre contexte géométrique, qu'il avait commencé à construire.[78] En somme, il bâtissait l'ébauche d'une métaphysique théorique [...] 
[note 78] : Avec un espace, un temps, des masses... imaginaires, au sens mathématique du terme.
[J.-C. Bourret, J-P. PetitOVNI - L'extraordinaire découverte, Ed. Guy Trédaniel (2017), pp. 96]
Le 2 octobre 2017, J.-P. Petit, célèbre entre autres pour ses travaux fondateurs sur la physique des plasmas (MHD) et sur la cosmologie que je qualifierais de géométrique (cette approche classique permettant de réfuter scientifiquement la cosmologie contemporaine fondée sur la théorie (sic) des cordes et le trou noir stellaire qui sont des mystifications), a diffusé un article de 33 pages intitulé Theoretical metaphysics. En mars 2005 l'auteur avait annoncé son projet, avec des détails qui se retrouvent inchangés.

J'attendais cette diffusion depuis une discussion que nous avions eu le soir du 17/08/2015 dans le prolongement de son modèle cosmologique JANUS, puisque j'avais rédigé une précédente ébauche sur le besoin d'une nouvelle conceptualisation de la métaphysique.

Son travail comporte trois volets. 
Dans un prologue, l'auteur tout d'abord s'interroge :
"Aucun scientifique ne peut éviter les questions métaphysiques, dès lors qu'il s'interroge sur ce que peut être sa propre conscience, selon le double aspect de la perception de l'existence et de la conscience morale du “bien opposé au mal”; ou bien quand il songe à son devenir post mortem.[...]
[Selon le positivisme de Littré...], "intellectuellement, l’enchaînement des causes sans terme, est inaccessible à l’esprit humain. Mais inaccessible ne veut pas dire nul ou non existant."
[...] Sera-t-il possible un jour de modéliser tout ce qui échappe à la physique contemporaine, ce qui serait proprement appelé la disciple de la métaphysique? Mais qu'est-ce-que la matière exactement? Qu'est-ce-que la matérialité?" 
L'auteur propose ensuite un nouveau modèle conceptuel, sous la forme d'une nouvelle modélisation géométrique de la matière. 
Etendant des travaux de Souriau et ses propres travaux sur JANUS, J.P. Petit remplace l'espace de Minkowski, qui est celui d'une relativité particulière, par un espace de Minkowski complexe, c'est-à-dire un espace Hermitien. Partant d'un sous-espace isométrique, l'auteur établit le moment (au sens de la géométrie symplectique, ou théorie des groupes dynamiques) qui lui est associé. Il démontre que l'énergie, le moment, le spin, la quantité de mouvement et, dans le cas d'un espace de Minkowski étendu (un espace de Kaluza étendu), les charges quantiques, deviennent des complexes. C'est une première ébauche du modèle #SuperJanus.

Enfin, utilisant ce résultat comme modèle conceptuel géométrique, l'auteur présente une ébauche de son application pour réinterpréter des "faits métaphysiques" empruntés aux "textes traditionnels": l'âme individuelle et collective, la vie/la mort, les égrégores, l'évolution du vivant, les différents degrés de conscience et de réalité, la méditation, le rêve. Premiers pas vers la formalisation de lois métaphysiques.

La métaphysique théorique est donc avant tout une métaphysique géométrique. Cette approche est en rupture, nous semble-t-il, avec le règne de la quantité, c'est-à-dire celui de la simulation numérique chères aux "infinitistes", de la simulation tout court, du simulacre, qui ne peut pas être une théorie.

Nous remarquons que le modèle de Petit est construit sur un espace Hermitien, qui utilise les propriétés du corps . Les nombres complexes sont de la forme a + ib, avec un nombre imaginaire i tel que i2 = –1
La représentation reprend par conséquent une forme imagée avec seulement deux axes ou deux plans, avec une composante réelle (monde matériel) pour chaque point, et une composante imaginaire (monde non matériel).

L'objectif d'un tel modèle est bien de servir d'outil pour réinterpréter par une approche plus formelle des faits métaphysiques issus de la "tradition". Nous remarquons que l'auteur, selon ses propres mots, marche à tâtons dans l'obscurité au sujet de ce que l'on peut déduire de ces faits. L'auteur évoque le cas du bouddhisme avec une structure multidimensionnelle de l'âme humaine. Il écrit aussi :
"D'après le bouddhisme la succession des incarnations s'effectue selon un affaiblissement  progressif de l'individualité de l'homme. C'est comme si son âme individuelle se fondait dans l'âme collective."
Dès lors, il est déterminant de pouvoir préciser les faits métaphysiques qui peuvent être choisis, et qui sont projetés sur le modèle ébauché par l'auteur. Nous espérons par là apporter un peu plus de clarté dans cette obscurité.

En matière de métaphysique et de tradition, l'auteur de référence à prendre en compte en premier lieu est René Guénon, avant tout autre.
Je conseille à ce titre la lecture des ouvrages suivants :
  • Les États multiples de l’être
  • L’Homme et son devenir selon le Vêdânta
  • Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues
  • mais aussi en particulier Le symbolisme de la croix où l'on peut notamment trouver les chapitres suivants qui condensent la représentation géométrique traditionnelle de la métaphysique :
    • CHAPITRE IV - Les directions de l’espace
    • CHAPITRE VII - La résolution des oppositions
    • CHAPITRE XI – Représentation géométrique des degrés de l’Existence
    • CHAPITRE XII – Représentation géométrique des états de l’être
    • CHAPITRE XIII – Rapport des deux représentations précédentes 
    • CHAPITRE XV – Représentation de la continuité des différentes modalités d’un même état d’être 
    • CHAPITRE XVI – Rapports du point et de l’étendue 
    • CHAPITRE XVIII – Passage des coordonnées rectilignes aux coordonnées polaires ; continuité par rotation 
    • CHAPITRE XIX – Représentation de la continuité des différents états d’être 
    • CHAPITRE XX – Le vortex sphérique universel 
    • CHAPITRE XXI – Détermination des éléments de la représentation de l’être  
Ces livres sont disponibles pour les Canadiens gratuitement, en version originale et plein texte:
Il faut d’ailleurs dire que les mathématiques, plus que toute autre science, fournissent ainsi un symbolisme tout particulièrement apte à l’expression des vérités métaphysiques, dans la mesure où celles-ci sont exprimables, ainsi que peuvent s’en rendre compte ceux qui ont lu quelques-uns de nos précédents ouvrages ; c’est pourquoi ce symbolisme mathématique est d’un usage si fréquent, soit au point de vue traditionnel en général, soit au point de vue initiatique en particulier. Seulement, il est bien entendu que, pour qu’il puisse en être ainsi, il faut avant tout que ces sciences soient débarrassées des erreurs et des confusions multiples qui y ont été introduites par les vues faussées des modernes [...]
(René Guénon, Les principes du calcul infinitésimal (1946), pp. 98)

Pourquoi cet auteur, Guénon, plutôt qu'un autre? Pourquoi (apparemment) la tradition hindoue plutôt qu'une autre? Les arguments sont nombreux et porteurs. En résumé :
  • parce que la tradition hindoue est la plus ancienne des traditions conservées jusqu'à nos jours, et qu'il est primordial de remonter autant que possible à la source
  • parce que Guénon écrivait dans un français d'une rigueur logique et sémantique impeccable, ses ouvrages étant néanmoins traduits dans de nombreuses langues
  • parce qu'il n'a jamais été sérieusement réfuté depuis un siècle (et on comprend pourquoi en le lisant) 
  • parce qu'il nous éclaire sur la complémentarité essentielle des religions (chacune proposant sa propre voie exotérique), et surtout sur l'homogénéité des symboles subjacents (l'ésotérisme) communs à toutes les religions (sauf les fausses comme le théosophisme et le frankisme), laquelle homogénéité dessine ce que Guénon appelle la Tradition Primordiale qui ne s'oppose pas aux diverses religions
  • parce qu'il est un praticien particulièrement reconnu, en particulier parmi les soufis (mais pas seulement) des concepts métaphysiques (ésotériques) qu'il explique en partant des textes originaux. Il est à l'opposé d'un simple "orientaliste".
Guénon, notre contemporain, propose une synthèse extraordinaire d'au moins 6000 ans de la pensée humaine, tout en restant accessible. 
Une autre partie de son oeuvre est la critique la plus profonde qui soit du modernisme. Profonde parce qu'elle utilise la Tradition Primordiale comme boussole, et parce que depuis un siècle on a pu vérifier pas à pas la pertinence de chacune de ses phrases.  

La Tradition que représente Guénon nous explique qu'il y a au moins autant de différence entre métaphysique de l'esprit et religion d'une part, qu'entre monde matériel et âme d'autre part. 
La Tradition décrit un univers structuré en 3 mondes:
  • le monde matériel
  • le monde de l'âme, des émotions, de l'intellect, qui influence les perceptions de l'homme dans le premier
  • le monde subtil de l'esprit, que rien des mondes ci-avant ne peut influencer, auquel l'homme ne peut accéder de son vivant (sauf des individus très exceptionnels, et de manière temporaire), et qui influence tout le reste 
La première implication est que le modèle que décrit J.-P. Petit devrait être complété en introduisant non pas une matière représentée par un nombre complexe, mais plutôt une matière représentée par un nombre hypercomplexe par exemple de la forme suivante en dimension 4: a + i1b + i2i3c, avec des nombres imaginaires in tel que in2 = –1
(une dimension 3 ou supérieure à 4 du nombre interdit d'obtenir la propriété associative de la multiplication).

Il s’agit de remplacer l'espace de Minkowski complexe de J.P. Petit (un espace Hermitien) par un espace de Minkowski hypercomplexe, construit en partant des propriétés fondamentales de l’ensemble des quaternions  (ou bien d'autres nombres hypercomplexes comme les tessarines) :
  •  est une algèbre associative sur le corps des nombres réels 
  •  est un espace vectoriel sur , de dimension 4
  • (, +, x) est un corps gauche non commutatif 
  • il existe un isomorphisme de (, +, x) sur (', +, x), ' étant l'ensemble des quaternions de la forme (a, b, 0, 0) ; cet isomorphisme permet d'identifier ℂ à '
  • il est possible de définir un produit scalaire sur , afin de le munir d’une structure d’espace euclidien
  • et d'autres propriétés : voir ici ou ici
Partant d'un sous-espace isométrique, il s’agira d’établir le moment (au sens de la géométrie symplectique) qui lui est associé.
On devra démontrer que l'énergie, le moment, le spin, la quantité de mouvement et les charges quantiques deviennent alors des quaternions.  

On peut représenter algébriquement un nombre complexe par une matrice à deux colonnes et deux lignes, dont les termes sont des réels. Un nombre hypercomplexe peut se représenter algébriquement, pour les plus simples d'entre eux c'est-à-dire en dimension 4, sous forme d'une matrice 4x4, ou bien sous forme d'une matrice à deux colonnes et deux lignes dont les termes sont des nombres complexes a + ib.
I, un quaternion de Ryad...

"Une sorte de « préfiguration » de cette absorption du temps par l’espace, assurément fort inconsciente chez ses auteurs, se trouve dans les récentes théories physico-mathématiques qui traitent le complexe « espace-temps » comme constituant un ensemble unique et indivisible ; on donne d’ailleurs le plus souvent de ces théories une interprétation inexacte, en disant qu’elles considèrent le temps comme une « quatrième dimension » de l’espace. Il serait plus juste de dire qu’elles regardent le temps comme comparable à une « quatrième dimension », en ce sens que, dans les équations du mouvement, il joue le rôle d’une quatrième coordonnée s’adjoignant aux trois coordonnées qui représentent les trois dimensions de l’espace ; il est d’ailleurs bon de remarquer que ceci correspond à la représentation géométrique du temps sous une forme rectiligne, dont nous avons signalé précédemment l’insuffisance, et il ne peut pas en être autrement, en raison du caractère purement quantitatif des théories dont il s’agit. Mais ce que nous venons de dire, tout en rectifiant jusqu’à un certain point l’interprétation « vulgarisée », est pourtant encore inexact : en réalité, ce qui joue le rôle d’une quatrième coordonnée n’est pas le temps, mais ce que les mathématiciens appellent le « temps imaginaire » [3] ; et cette expression, qui n’est en elle-même qu’une singularité de langage provenant de l’emploi d’une notation toute « conventionnelle », prend ici une signification assez inattendue. En effet, dire que le temps doit devenir « imaginaire » pour être assimilable à une « quatrième dimension » de l’espace, ce n’est pas autre chose, au fond, que de dire qu’il faut pour cela qu’il cesse d’exister réellement comme tel, c’est-à-dire que la transmutation du temps en espace n’est proprement réalisable qu’à la « fin du monde » [4]."
[3] En d’autres termes, les trois coordonnées d’espace étant x, y, z, la quatrième coordonnée est, non pas t qui désigne le temps, mais l’expression t (-1)
[4] Il est à remarquer que, si l’on parle communément de la « fin du monde » comme étant la « fin du temps », on n’en parle jamais comme de la « fin de l’espace » ; cette observation, qui pourrait sembler insignifiante à ceux qui ne voient les choses que superficiellement, n’en est pas moins très significative en réalité.
(René Guénon, Le règne de la quantité et les signes de temps, (1945), Chap. XXIII)

Pour reboucler sur la question de notre introduction, il est opportun de remarquer la façon dont les quaternions ont été découverts: l'éclair de génie de Hamilton.

Le fait que c'est en Occident, et au sein du pays qui a été la deuxième victime du renversement de l'ordre traditionnel (le "troisième coup de canon" immédiatement après la Révolution américaine), que des personnes telles que Guénon, Souriau, Petit ont été révélées, et ont été d'une manière ou d'une autre élevées, ou initiées, doit nécessairement nous donner à penser quant au passage à la fin du Kali Yuga, notre âge de fer. Ce passage ne peut avoir d'autre topologie que celle que possède un diable (l'objet!) ou la gorge d'un sablier, et où le passage "de l'autre côté" s'accompagne de manière pratiquement instantanée d'une inversion complète de la "polarité" en action, à l'image de ce qui se produit pour les propriétés de la matière dans l'étoile à neutrons déstabilisée.


Symboliquement, le cercle de gorge de ce passage est mentionné dans l'Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (13:24). Il est également représenté dans la tradition hindoue par l'architecture des portes étroites, que l'on trouve à l'entrée de chaque habitation traditionnelle, chaque temple, mais aussi dans la notion du passage resserré entre les montagnes, ou rochers, présente dans toutes les traditions et qui représente le changement d'état spirituel. C'est également la topologie du col de l'utérus, et ce passage emprunté par le fœtus définit la naissance par les voies naturelles, c'est-à-dire la venue au monde, le "monde qui vient" : un changement irréversible de l'état de l'être. C'est ainsi que le symbolisme de la venue à la vie est aussi celui des portes de l'outre-monde.


"Il faut se représenter le pont comme constitué primitivement par des lignes, qui en sont le modèle naturel le plus orthodoxe, ou par une corde fixée de la même façon que celles-ci, par exemple à des arbres croissant sur les deux rives, qui paraissent ainsi effectivement « attachées » l’une à l’autre par cette corde. Les deux rives représentant symboliquement deux états différents de l’être, il est évident que la corde est ici la même chose que le « fil » qui unit ces états entre eux, c’est-à-dire le sûtrâtmâ lui-même ; le caractère d’un tel lien, à la fois ténu et résistant, est aussi une image adéquate de sa nature spirituelle ; et c’est pourquoi le pont, qui est aussi assimilé à un rayon de lumière, est souvent décrit traditionnellement comme aussi étroit que le tranchant d’une épée, ou encore s’il est fait de bois, comme formé d’une seule poutre ou d’un seul tronc d’arbre. Cette étroitesse fait également apparaître le caractère « périlleux » de la voie dont il s’agit, qui est d’ailleurs la seule possible, mais que tous ne réussissent pas à parcourir, et que bien peu même peuvent parcourir sans aide et par leurs propres moyens, car il y a toujours un certain danger dans le passage d’un état à un autre ; [...]
Ainsi, le passage du pont n’est pas autre chose en définitive que le parcours de l’axe, qui seul unit en effet les différents états entre eux ; la rive dont il part est, en fait, ce monde, c’est-à-dire l’état dans lequel l’être qui doit le parcourir se trouve présentement, et celle à laquelle il aboutit, après voir traversé les autres états de manifestation, est le monde principiel ; l’une des deux rives est le domaine de la mort, où tout est soumis au changement, et l’autre est le domaine de l’immortalité."
(René Guénon, Le symbolisme du pont, Études Traditionnelles, janvier-février 1947)
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Note :
On rapprochera l'aveu de Souriau cité en introduction, de la description par Kekulé de sa découverte de la formule du benzène, telle que rapportée par John Read, From Alchemy to Chemistry (1957), pp. 179–180 :
"I was sitting, writing at my text-book; but the work did not progress; my thoughts were elsewhere. I turned my chair to the fire and dozed. Again the atoms were gamboling before my eyes. This time the smaller groups kept modestly in the background. My mental eye, rendered more acute by the repeated visions of the kind, could now distinguish larger structures of manifold conformation: long rows, sometimes more closely fitted together; all twining and twisting in snake-like motion. But look! What was that? One of the snakes had seized hold of its own tail, and the form whirled mockingly before my eyes. As if by a flash of lightning I awoke; and this time also I spent the rest of the night in working out the consequences of the hypothesis."
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Le modèle symplectique de J.P. Petit a fait l'objet d'une publication scientifique ce mois-ci :
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On pourra rapprocher ces travaux de l'orientation prise par le prix Nobel de physique Josephson [1] :

In the late 1970s, Josephson’s work took a turn that was looked upon unfavourably by some peers. He began to focus on the human brain and links between quantum physics and parapsychological or paranormal phenomena such as telepathy and extra-sensory perception.
He became director of the Mind-Matter Unification Project of the Theory of Condensed Matter Group at the Cavendish Laboratory, within Cambridge University. Josephson’s homepage describes it as “a project concerned primarily with the attempt to understand, from the viewpoint of the theoretical physicist, what may loosely be characterised as intelligent processes in nature, associated with brain function or with some other natural process”.
He told an interviewer from the Physics World journal in 2002 that, “physicists have an emotional response when they hear anything connected with parapsychology. Their opinion of parapsychology research is not based on evaluation of the evidence but on a dogmatic belief that all research in this field is false.”
He’d started to think about how the brain works and found this more fascinating than anything in physics at the time. He became interested in Eastern mysticism and parapsychology.
“I began to sense that conventional science is inadequate for situations where the mind is involved, and the task of clarification became a major concern of mine,” he said.

[dernière mise à jour : 29/8/2019]

2016/10/07

Le modèle cosmologique Janus

J'avais évoqué la crise scientifique en particulier dans le domaine de la cosmologie dans plusieurs articles de 2012 (notamment Une théorie et un homme en crise : les cordes et Alain Riazuelo et Les réseaux Euro-BRICS comme réponse à la crise scientifique) en évoquant comme sortie de crise le développement en cours du modèle JANUS. Je vous y renvoie pour la bibliographie scientifique.

Son auteur principal, le Dr Jean-Pierre Petit, a animé vendredi premier octobre en soirée une conférence de deux heures sur ce sujet dans les locaux de l'Association Andromède, de Marseille, intitulée : "Une interprétation de la matière noire de notre univers en tant que copie de notre propre matière, mais dotée d'une masse et d'une énergie négative."

Il a mis déjà en ligne le support de sa conférence, en deux pdf téléchargeables, à dévorer sans attendre :
L'enregistrement vidéo intégral de sa conférence sera bientôt mis en ligne.
Bien que s'appuyant sur des résultats scientifiquement validés de très haut niveau et publiés, la compréhension du contenu cette conférence, dans un effort remarquable de pédagogie, reste accessible pour des bacheliers scientifiques. Les plus curieux et aguerris pourront creuser tous les aspects dans la bibliographie que j'ai mentionnée.

Cette conférence sur JANUS arrive à point nommé pour commenter une actualité scientifique: dans une galaxie très, très lointaine des astronomes français ont découvert le premier trou noir "vagabond"

Voici une esquisse d'explication de ce "mystère" qui serait à développer avec le modèle cosmologique Janus, et la nouvelle théorie du trou noir développée par Petit et d'Agostini qui en est issue : 
le premier trou noir supermassif GJ 1417 transforme d'énormes quantités de matière traditionnelle (masse positive) en masse négative (émettant des photons d'énergie négative donc invisible de nous). Cette matière négative reste "localisée"(*) dans un volume autour de GJ 1417, et sa quantité repousse le deuxième astre XJ 1417 de masse positive suivant la loi anti-Newton, lequel devient vagabond. 
Les caractéristiques astrophysiques mesurables de cette répulsion pourraient servir à préciser indirectement la distribution de la masse négative générée par GJ 1417. 

Update 6/11/2016:
Today J.P. Petit has just uploaded the english translation of his public presentation :
Presentation for the public at large of the Janus Cosmological Model

Mise à jour 7/01/2017:
Le Dr. Petit a conçu et mis en ligne une série de vidéos pédagogiques pour expliquer les faiblesses des modèles cosmologiques actuels et les réponses apportées par son propre modèle JANUS, à partir de ses publications scientifiques qui ont été acceptées. Vous trouverez le lien de chaque épisode publié dans les commentaires du présent article.

Mise à jour 9/1/2019 : j'ai rédigé depuis le 2/12/2018 les pages wikipedia en français et en anglais sur le modèle bimétrique Janus. Les statistiques montrent que la page française est passée de la 53e place pour novembre à la 9ème place pour décembre parmi les pages du portail Cosmologie de Wikipedia.

(*) : lire attentivement les références bibliographiques si vous voulez comprendre ce que recouvre cette expression dans le modèle JANUS.

2012/05/18

Une théorie et un homme en crise : les cordes et Alain Riazuelo

Mise à jour le 16/6/2019.
[fichier PDF de la bibliographie du modèle Janus ]
 

 Cette décennie voit l'écroulement du plus grand désastre intellectuel de l'histoire moderne de l'humanité : la théorie classique en cosmologie & astrophysique théorique autour du "modèle dit standard" et des "supercordes".

Cet effondrement prend depuis plusieurs années la forme d'un affrontement "à mort" (scientifiquement parlant) impliquant en particulier la personne de Alain Riazuelo (photo ci-contre). J'ai déjà mentionné sur ce blog son manque total de rigueur professionnelle et sa lâcheté dans le débat d'idées contre Jean-Pierre Petit et ses travaux en astrophysique. Rappels des faits: en août 2006, Alain Riazuelo a publié un court commentaire public sur le site de l'IAP critiquant uniquement l'article « Twin Universes Cosmology » paru dans Astrophysics and Space Science en 1995. Le ton employé est très discourtois, et l'auteur ne détaille pas tous ses arguments. On note également la phrase de conclusion qui prend un sens particulier si on s'intéresse aux prédictions quantitatives (succès et échecs) du modèle ΛCDM depuis 30 ans : « Aucune prédiction quantitative, et par conséquent aucune comparaison aux données actuelles. C'était pardonnable en 1995, mais certainement plus maintenant. En cosmologie comme ailleurs en astrophysique, on ne peut prétendre avoir le moindre sérieux si on ne fait pas de prédictions quantitatives. »
À la suite du commentaire de Riazuelo republié par un tiers sur l'article Jean-Pierre Petit et à ses propres contributions qui ont suivi entre le 14 août et le 9 octobre 2006 sur 21 journées, Jean-Pierre Petit s'est fait bannir à vie du projet Wikipedia France par 16 administrateurs francophones. Il a exprimé sa réponse et son désaccord profond sur son site personnel et sur Wikibuster dont les URL sont depuis inscrites sur la liste noire de Wikipedia France. Sur le fond scientifique et sociologique, Jean-Pierre Petit a tenu un journal ouvert pendant plus de 10 ans où il détaille les réponses qu'il a fournies à Riazuelo et à la direction de son institution, par écrit puis en vidéo, concernant en particulier ses demandes de débat scientifique en séminaire public, qui sont restées systématiquement ignorées par l'IAP, contrairement à toute règle d'intégrité et de déontologie scientifique (voir E. Vergès « Ethique et déontologie de la recherche scientifique » ; interview "La liberté d'expression" par Enquête et débat ; article La Croix 06/2018 ; conférence "Faut-il être hérétique pour innover en science ?" - réf. BNF).  

Mr Riazuelo s'est trouvé placé en chantre du modèle standard du fait que le champion d'une théorie alternative était lui aussi français, du fait de sa position à l'IAP, et surtout parce qu'il a été piqué au vif par un lecteur, un citoyen qui lui demandait de faire son devoir et de commenter ces travaux originaux. C'est bien cette intrusion de la citoyenneté pour relancer un débat scientifique complètement bloqué qui est ici à souligner.

Depuis lors, cette position héritée de défenseur champion du modèle "standard" l'a poussé à prendre position de manière particulièrement véhémente contre les travaux de doctorat des frères Bogdanoff, puisque ce sont encore des français (décidément!). Riazuelo fut prisonnier d'une psychologie de "défenseur ultime" qui sacrifie sa propre éthique. Les frères Bogdanoff, devant les manoeuvres répréhensibles et répétées de Riazuelo, ont décidé de porter plainte, ainsi que contre la revue Ciel et Espace qui est l'organe de presse au service exclusif des défenseurs du modèle cosmologique standard, et qui ne s'en cache pas. Le 14 mars dernier, les frères Bogdanoff ont gagné leur procès. Deuxième incursion de la société dans le débat scientifique, cette fois via un recours en justice. On est monté d'un cran.


Il est frappant de constater que l'écroulement du modèle standard s'accélérant, on assiste désormais à un "appel à la patrie en danger". C'est ainsi qu'une lettre ouverte de Ciel & Espace recueillant 334 signatures de scientifiques vient d'être publiée. 
Dès lors, il est facile d'identifier deux camps irréductibles :
La confrontation entre les deux camps ne peut pas s'arrêter, et ne peut même que s'amplifier. Ceux qui ont signé cette lettre n'ont fait que rendre légitime l'existence du second camp, qui ne peut plus aujourd'hui être simplement ignoré. Malgré leur nombre apparent, ils se sont marginalisés dans une posture défensive qui  met en lumière leur refus du vrai débat scientifique, transparent, comme le réclame Jean-Pierre Petit depuis des années. Dès lors, les jours du modèle cosmologique standard (et des supercordes) comme modèle dominant, ainsi que du pouvoir de mandarin de ceux qui le défendent, sont comptés. Les défenseurs emblématiques seront remplacés, les plus féroces isolés, pour permettre aux nouvelles idées de s'installer, et sortir enfin de l'ornière intellectuelle. La France a un devoir particulier en la matière. Ici aussi, notre école de pensée a rendez-vous avec l'Histoire.

Ainsi en va-t'il des mondes qui s'écroulent. Ce changement de paradigme, ici en astrophysique, est aussi à rapprocher de la fin du statu quo général qui a prévalu dans notre société occidentale depuis 1945. Le fait qu'il se déroule dans le champ scientifique est aussi un point d'orgue, puisqu'il met en lumière la capacité d'un système humain, sensé être le plus transparent et ouvert à la contradiction, de s'enfoncer dans une impasse pendant toute la durée de vie active d'une génération. C'est donc un indicateur pertinent pour nos travaux d'anticipation politique.

MAJ 25/05/2012 :
J'ai publié un autre billet pour expliquer le fondement de ma démarche : la démocratie scientifique.

MAJ 26/05/2012 :
On lira avec intérêt cet article de Courrier International : y a t'il une menace Bogdanoff ?

MAJ 15/07/2015 puis régulièrement complété (24/03/2019) :
a) S'ajoutant aux références qui existaient déjà, on peut citer (les nombreuses publications et conférences de J.-P. Petit dans le domaine de la MHD ne sont pas listées ici) :
Il faut noter que d'autres chercheurs essaient de suivre la roue du leader de la cosmologie bimétrique, mais sans se référer à aucun de ses travaux précédents en cosmologie (ADS). En effet il existe, dans la littérature, des travaux concernant des modèles « bimétriques », qui n’ont rien à voir avec celui de Petit. Dans ce cas la seconde métrique se réfère à des « gravitons » dotés d’une masse, et même dans certains cas d’un « spectre de masse » (Damour et Kogan, 2002).

b) la percée historique du modèle cosmologique JANUS du Dr J.-P. Petit est décuplée depuis septembre 2013. On en jugera avec les publications scientifiques de premier plan suivantes :
Et ce n'est que le début de l'effondrement que j'annonçais dans mon anticipation politique de 2012 :
 
  • Un excellent résumé de ces 40 années de recherche sous forme de vulgarisation scientifique est désormais disponible : J-C Bourret, J-P Petit, Contacts Cosmiques - Jusqu'où peut-on penser trop loin ?, Guy Tredaniel Ed., (3 Oct. 2018), 400p.
    • p. 381, J.-P. Petit trouve une autre utilité aux sondes Pioneer X et XI, qu'il avait déjà mentionné dans L'univers gémellaire, p. 85 : la détection directe de masses négatives interstellaires par leur effet gravitationnel ralentisseur sur les sondes. Ce ralentissement reste inexpliqué jusqu'à présent, malgré des efforts acharnés pour parvenir à une explication démontrée sur le mouvement de bout en bout, pas seulement sur celui observé à partir de l'orbite de Saturne. Prochaine publication à paraître, conformément au modèle cosmologique Janus dont ce serait la 14ème preuve observationnelle.
      J.-P. Petit (et coll.) mènent déjà 13 à zéro dans le match contre l'ensemble des cosmologistes terriens.

Les articles publiés peuvent également être téléchargés à partir de Sci-Hub.

1 Octobre 2018 : 
Après des années de bataille juridique les frères Bogdanoff ont enfin, en appel, eu gain de cause contre le CNRS, condamné pour diffamation pour avoir été à l'origine de la diffusion d'un rapport mettant en cause la qualité de leurs travaux de thèse, auquel le journal Marianne donna écho. C'est l'astrophysicien Alain Riazuelo qui transmit à la revue ce rapport. Dans Janus 25, à 13 minutes 35 secondes, J.P. Petit avait exprimé son opinion, positive, sur leurs travaux, alors que nombre d'autres scientifiques, y compris une académicienne, Françoise Combes, invoquant un "droit au blâme", avaient signé un manifeste dans Ciel & Espace (voir lien au début de cet article) clouant les jumeaux au pilori, et accroissant ainsi leur préjudice humain et professionnel. Il est à prévoir que ce "droit au blâme" sera repris en force par la population quand le moment sera venu de régler la note avec les pseudo-élites, scientifiques ou autres
...

24/11/2018 :
F. Henry-Couannier (Univ. de Luminy) avait publié un article de cosmologie gémellaire avec Petit et D'Agostini en 2005 (cf ci-dessus). Il a ensuite continué à développer sur cette base son propre modèle d'extension bimétrique de la RG baptisé Dark Gravity. Il cite les travaux de Petit comme référence, et utilise le terme "Champ Janus" dans son modèle, mais les différences sont fortes avec le modèle de Petit :
  • The Dark Side of Gravity, Global Journal of Science Frontier Research (A), Vol 13, Issue 3, (2013), 1-53 ; Arxiv. Note: Henry-Couannier a reconnu en 2018 que ce journal était une "arnaque" pour chercheurs qui payent pour publier leurs travaux sans toujours se douter qu'il n'y a pas de véritable revue par un pair.
  • The Dark side of Gravity vs MOND/DM, 8/01/2019, présenté au séminaire de l'IAP de décembre 2018. 
Depuis 2014, il publie des travaux pour étendre son modèle afin d'expliquer les effets LENR :
Ce pourrait être également un développement futur pour Janus, après celui de #SuperJanus.
Henry-Couannier a publié sur son site en juin 2017 une critique du modèle Janus. L’objection liée aux identités de Bianchi sera développée par Damour en 2019, lequel s'inspire également du titre choisi par Henry-Couannier, sans le citer. 

12/01/2019 : Controverse scientifique publique avec Thibault Damour
Le 5 novembre 2018 Thibault Damour a répondu au questionnement d'un spectateur à propos des travaux de Petit sur le modèle cosmologique bimétrique Janus, à la sortie d'une conférence qu'il venait de donner dans le cadre du 18ème congrès Wright à Genève. Cet échange a été filmé. L'académicien argue que le modèle Janus ne repose sur aucune base mathématique et qu'ainsi "il n'est même pas faux", parce qu'il ne dérive d'aucune action, d'aucune dérivation lagrangienne. Il évoque une lettre qu'il a envoyée à Petit il y a des années et qui serait restée sans réponse. Petit a précisé dans une vidéo publique qu'il lui avait répondu il y a des années en lui disant que le modèle cosmologique bimétrique Janus était bien fondé sur une dérivation Lagrangienne (publiée en 2015 7), en fournissant les documents à l'appui, publiés dans des revues de haut niveau, dont celle qui constitue pour Damour une référence : Physical Review D 8.
Le 4 janvier 2019, Damour a publié sur sa page de l'IHES une critique de 7 pages sur les équations de champ du modèle Janus (plus précisément sur 3 publications de 2014 9,10 et 2016 11), en réponse à une lettre du 7 décembre 2018 que Jean-Pierre Petit lui a adressée 12. La rédaction de cette critique publiée par Damour a fait l'objet de conseils scientifiques de la part de Nathalie Deruelle, ainsi que de Luc Blanchet.
Petit a annoncé à la fin de la vidéo Janus 26 qu'il critiquerait les travaux en cosmologie bimétrique de Damour dans une prochaine vidéo à paraître, et qu'il répondrait en détails à cette critique du 4 janvier dans le prochain épisode Janus 27 13.

13/03/2019 : Petit a publié la vidéo Janus ép. 27. Elle est accompagnée d'une annexe scientifique de 54 pages qui explique l'évolution du modèle bimétrique Janus. A partir de la page 28, la critique de Damour, Blanchet et Deruelle est analysée et le modèle Janus est précisé : il évolue légèrement pour respecter les identités de Bianchi. Désormais JCM est décrit comme dérivant d'une action selon la méthode variationnelle. Il dispose d'une nouvelle dérivation lagrangienne. Ces raffinements du modèle, habituels en physique, ne remettent pas en cause les résultats précédemment obtenus par rapport aux observations astronomiques. Le lagrangien obtenu permet de modéliser finement l'effet de lentille négative du Répulseur du Dipôle. Cette mise à jour de Janus est validée par une nouvelle publication acceptée: Physical and mathematical consistency of the JCM, Progress in Physics, accepted Feb. 2019, vol. 15, issue 1.

15/03/2019 : Vaincre son égo.

"J'ai découvert ce papier, consigné par Gabriel Chardin. Cet "anti plasma", quelle trouvaille. https://arxiv.org/pdf/1804.03067.pdf  Et cette phrase : "These models could be viewed as the Newtonian limit of some biometric extension of General Relativity" : "Ces modèles pourraient être considérés comme la limite Newtonienne de quelque extension bimétrique de la Relativité Générale". De minables petites tentatives de pillage scientifique. Réussir à parler de tout cela sans évoquer nos travaux, faut le faire. Ce Chardin, quel opportuniste ! Il est bien placé, à la Direction Générale du Cnrs, "responsable des grands instruments". Il espère que l'antimatière "va tomber vers le haut". Si c'était le cas il se précipiterait sous les projecteurs en disant . "C'est moi qui …". Mais ça n'a pas l'air de venir. Cette antimatière de labo a bien l'air de tomber bêtement vers le bas, comme je l'ai prédit. Chardin est un théoricien comme moi je suis archevêque. Quid de ce modèle de Milne-Dirac qui contredit les auteurs du prix Nobel pour la mise en évidence de l'accélération de l'expansion. Mais on essaye de se placer comme on peut. C'est le grenouillage habituel des milieux de la recherche française (mais dans tous les pays c'est pareil). Ca me rappelle la MHD, il y a trente ans. C'est malhonnête, minable. 

Je bosse avec la mathématicienne Nathalie Debergh. Quelle différence, humainement ! Rigueur, honnêteté, humanité, courage, humour, et passion, aussi. Ce qu'il faut pour se trouver éjectée de l'université de Liège. Car, qu'on ne s'y trompe pas, c'est partout pareil. Avec des états de service impressionnants, un esprit exceptionnellement brillant, elle s'est vue barrer l'entrée de l'université. Elle est prof dans une école technique, enseigne à des institutrices et des étudiants en agronomie (…).

Dans ces milieux, quand on a décidé de faire tomber quelqu'un, on fait tout pour que la personne ainsi condamnée n'en ait pas conscience. 

- Ah, ma petite Nathalie, votre candidature, ça n'a pas marché cette année. Mais ne vous découragez pas. Il faut se dire que l'année prochaine …. 
Alors que ces gens savent pertinemment qu'elle a été "condamnée" par la maffia locale parce que trop brillante, parce qu'elle appelle un chat un chat, parce que ses exceptionnelles qualités font de l'ombre aux autres. Dans le monde de la recherche, être brillant est plus un handicap qu'un avantage. Quand on est comme Nathalie, on ne voit pas le coup venir. On est plongée dans ses recherches. On produit à tout va (cent articles parus dans des revues top niveau). Jusqu'au jour où c'est la dernière année. Où l'université a choisi un "profil" tel que ses compétences ne puissent être prises en compte. Alors c'est la porte. Retrouver un job n'importe où, tant bien que mal. 

Moi je m'en suis sorti parce que je me suis toujours efforcé d'anticiper. Sauf la fois où la DG du Cnrs m'avait viré de l'observatoire par lettre de cachet. Je ne pensais pas qu'ils auraient été jusque là. Je pense à James Lequeux, complice de cette opération de "prophylaxie". Lequeux, qui disait qu'il avait le cuir aussi épais que celui d'un rhinocéros. Mais j'ai échappé à ce coup là aussi. Depuis, je n'ai que mépris pour cette institution qu'est le Cnrs, dont la devise devrait être " Je ne veux pas le Savoir". Des structures qui fonctionnent comme la Maffia. 

Vous savez pourquoi Nathalie a pris contact avec moi ? Elle m'a dit "j'ai découvert en vous un type intègre. Et ça ne court pas les rues dans le monde université-recherche". Le résultat de cette collaboration a été un super papier en mécanique quantique. 
Qu'est-ce que je fais, maintenant ? Je me tourne vers Nathalie. Nous échangeons. J'ai basculé dans la géométrie symplectique. Passionnant, et à terme utile. Mais les internautes me demanderont en vain " alors, cette vidéo Janus 28 ? ". Il n'y aura plus de vidéo Janus. 

Damour avait attaqué, bille en tête, avec sa lettre recommandée avec accusé de réception. Sûr de lui il avait même mis "sa démonstration" dans sa page de l'IHES. Mais ajoutera-t-il ma réponse ? Comme j'ai attendu deux mois que mon papier soit définitivement accepté par Progress in Physics il disait à qui voulait l'entendre " j'ai mis Petit K.O.". Le retour de balancier est brutal. Vous avez vu le vide de cette "massive bigravity" ! Vertigineux. Quarante pages de vide, de bluff, de vent. Pour montrer le vide de ce papier il a fallu que j'explique ce qu'était une action. Là aussi c'est minable. Et que dire de cette Françoise Combes et de ses mille publications. Ils sont magnifiques, nos académiciens. Et Villani, qui m'a envoyé deux cartes postales avec "ses encouragements". Candidat à la mairie de Paris. Déclare "l'enfouissement des déchets nucléaires est la moins mauvaise solution", alors qu'il n'y connait rien. Il y a un sujet que je connais bien : c'est la théorie cinétique des gaz, le domaine où Villani a eu sa médaille Field. Il a été assez intelligent pour comprendre que "sa contribution" ne débouchait sur rien. Après, il s'est empressé de laisser tomber toute recherche, pour se concentrer sur ce qui est l'axe de sa vie : sa recherche d'identité. Parce que ce costume, ce déguisement, cette araignée, à quoi ça rime ? Il a besoin de ça pour exister ? C'est pathétique. Pour se balader comme ça il faudrait l'humour d'un Oscar Wilde. Après la mairie de Paris, c'est quoi le plan ? Ministre de la recherche ? Et, pourquoi pas, président de la république. Macron y est bien parvenu. 

Vous savez ce que j'ai tendance dire à propos du monde université-recherche : 

- Au mieux, ils sont lâches. 

Sauf, de temps à autre, des grandes figures comme Lichnérowicz. Je n'oublierai jamais. Sans lui je n'aurais jamais pu publier mes travaux de dynamique galactique des années soixante. Lichné, c'était un grand seigneur de la recherche. Après, on a eu des types comme Evry Schatzmann. Savez vous qu'avant de devenir un ennemi acharné il a été président du Jury de ma thèse, en 1967 ? Il savait donc ce que je valais. Mais pour lui, j'étais un "criminel" : j'avais relié le phénomène ovni à la science. Je devais disparaître. Rappelez-vous. Il avait fait comme Damour, avec la MHD. L'histoire "du baron de Munchaüsen". Pour exercer ce droit de réponse à Annecy en 1976 j'étais venu en ambulance, sur un brancard, victime de mon accident du travail dans mon labo. 

Je lis de temps en temps des mots d'internautes qui me reprochent "de régler des comptes". Mais le monde de la recherche est, sauf rares exceptions, de temps à autre, un grouillement de cloportes. 

De temps en temps un homme se bat pour une idée, comme feu mon grand ami Jacques Benveniste. On l'a tué. Des types comme Charpak, et beaucoup d'autres, ont mis le paquet. Je disais " Jacques, abandonne, dégage, tu vas y laisser ta peau". Qui ira demander des comptes à cet ancien directeur de l'INSERM qui avait prononcé son exclusion de son labo de Clamart, ce qui avait contraint Jacques à se réinstaller dans des baraquement Algeco, dans la cour ! Je crois qu'il s'appelait Lazare. Honte ! Honte ! À la fin Jacques payait ses collaborateurs avec son propre argent. Il courrait de tous côté pour trouver de l'argent. Son coeur amoché partait en miettes. Il est mort sur une table d'opération. Le chirurgien m'a dit " j'ai ouvert, mais je ne pouvais rien faire. son appareil cardiaque était en miettes". Il avait déjà été rafistolé maintes fois. 

Et Michel Bounias, viré de son labo de l'INRA d'Avignon, pour avoir publié et confirmé ses analyses sur une trace d'ovni à Trans en Provence en 1981. Exclu, excommunié. Reclus dans un bureau d'une fac. Privé de tous moyens. Honte ! honte ! Il s'était en outre attiré les foudres de l'INRA en dénonçant, le premier, l'effet mortifère des insecticides sur les abeilles ! Décédé d'un cancer. En fait du traitement auquel il a été soumis par sa hiérarchie. 

Je m'en suis toujours sorti parce que je pouvais changer de domaine de recherche. Je l'ai fait n fois. Et là, à 82 ans, c'est un nouveau changement. Je vous laisse vous démerder avec les Damour, les Françoise Combes, les Gilbert Chardin, les Etienne Klein, les Lachièze-Rey, les Riazuelo, etc… etc…

À moins que vous ne préfériez écouter leurs discours sans réagir. C'est à vous de voir. Maintenant, le spectateur, c'est moi."

20/03/2019 : Diffusion du modèle Janus
Depuis la publication de l'article de Patrick Marquet, Twin Universes: a New Approach, Progress in Physics, 2019, vol. 15, issue 2, la bibliographie sur cette page n'est plus régulièrement mise à jour : à la place, le fichier PDF de la bibliographie du modèle Janus sera mis à jour.

20/03/2019 :
Luc.J.Bourhis, docteur en physique des particules mais non spécialiste de la RG, publie une "démolition" (sic) du modèle Janus. Réponse de J.P. Petit : "Il faut que ce monsieur publie cela dans une revue à comité de lecture, ou qu'il écrive à la revue qui m'a publié."
Ce contenu n'a pas fait l'objet d'une publication ou même d'un envoi à Progress in Physics comme droit de réponse, et Bourhis n'étant pas un spécialiste reconnu du domaine concerné, son travail n'a pas fait l'objet d'une réfutation. 
Nathalie Debergh, co-auteur, l'exprime de façon plus imagée: "Exactement. Le jeu scientifique veut que, quand on a une critique à formuler, on envoie cette critique à la revue...qui décide de publier ou non (ah, se soumettre à ça...c'est plus risqué ! Et on ne parle pas du danger éventuel que le referee réponde "ok, mais proposez une alternative qui réponde positivement à vos critiques"... Construire plutôt que détruire ? Ouh là là !). Sans cela, la critique est à la valeur scientifique ce que les tabloïds sont aux revues qui vérifient leurs sources. Et Brad Pitt ne passe pas son temps à répondre aux journaleux qui écrivent sa nouvelle histoire d'amour avec un orang-outan candidat à la présidence du rotary club de LA..." 

Et elle complète ensuite de manière pertinente:
"Voilà où le bât blesse : le mot "détracteur". Nous ne sommes pas en train de dire que le modèle Janus est parfait : un modèle est fait pour évoluer et se perfectionner au cours du temps ou... être laissé de côté si rien de bon n'est à en tirer. 
Là, je vais parler en mon nom (je ne sais pas ce que JPP en pense) : autant j'apprécie l'attitude de quelqu'un qui trie constructivement les informations (ça, je prends car c'est un résultat intéressant et ça je laisse momentanément je corrigerai ensuite car ça laisse à désirer), autant quelqu'un qui est dans l'optique "je vais tout démolir mais ne rien proposer en échange" m'irrite. Cette dernière attitude est purement négative et, personnellement, je ne passerai pas une seconde de ma vie (fort chargée, vous l'avez compris) à lire ces gens. 
J'insiste : ce n'est pas parce qu'ils critiquent Janus mais parce qu'ils ne font que cela, d'une façon peu orthodoxe puisque soit on contacte directement l'auteur en privé, soit on envoie un papier à une revue- et ne proposent rien pour améliorer. 
Il faut quand même rappeler que JPP a été le premier à proposer que la matière noire soit négative... ce n'est pas rien ! Depuis, de nombreux physiciens ont repris l'idée à leur compte, sans mentionner JPP la plupart du temps. Encore il y a quelques jours, j'ai reçu la demande d'une revue pour analyser un article en parlant... 
Donc, de mon côté, je vous répondrai que je lirai les critiques à partir du moment où elles seront formulées par quelqu'un qui fera le tri entre tout ce que Janus a apporté et ce qui reste à améliorer. Mais je ne lirai pas des gens qui existent ou qui croient exister avec une démolition (appeler son papier comme cela, ce n'est pas anodin... vous en conviendrez... "critique" aurait été plus mesuré) de ce que d'autres ont fait. Ce n'est pas du mépris qui vise ce Luc B personnellement, c'est un mépris pour une attitude générale. Qu'il propose quelque chose de constructif et je le lirai avec beaucoup d'intérêt." 

Et juste après:
"J'ignore si vous êtes familier du milieu de la recherche. Si vous l'êtes, je ne vais rien vous apprendre. Si vous ne l'êtes pas, sachez que ce n'est pas un milieu convivial où fusent de grandes idées émises par des gens remarquables... On est plus près de Koh-Lanta que des hautes sphères. Je ne mets pas tout le monde dans le même sac : il y a des chercheurs remarquables. De ce que j'en ai vu, ils ne sont guère la majorité. Imaginez que j'ai entendu un chercheur se réjouir du cancer généralisé de la fille de son collègue car il allait pouvoir prendre sa place. Et croyez-moi, ce n'est pas une exception. Imaginez que vous viviez dans cette fange humaine pendant des années... 
Alors quand quelqu'un publie sur une plateforme un truc qui s'intitule "démolition", on se dit "et hop, un sale con de plus" ! Et on n'a pas envie d'aller plus loin. Parce que la nausée du milieu peut reprendre et qu'il faut s'en protéger. Je ne dis pas que Luc B est un sale con mais il en a eu le comportement. Et j'ai décidé de ne plus consacrer mon temps qu'à des gens positifs. Pour clôturer, certes JPP y est allé fort dans sa vidéo mais le public ne sait pas forcément tout ce qu'on a dû "accepter" avant... 
Ainsi Damour, que vous citez, m'a envoyé un message (et je ne lui avais pas demandé son avis !) me reprochant en termes très méprisants, condescendants et paternalistes, de ne pas avoir tenu compte de la gravitation dans l'article de mécanique quantique... AUCUN papier de MQ ne tient compte de la relativité générale car, comme vous le savez, conjuguer les deux, c'est le Saint-Graal de tous les physiciens. Et moi, pauvre matheuse, je n'y suis pas arrivée (je n'ai même pas essayé !) plus que l'ensemble des physiciens, Damour compris. Mais ce cher homme me le reproche en vomissant ses termes méprisants... Vous voyez que c'est l'accumulation de ces comportements qui ne grandissent pas leurs auteurs qui provoque, finalement, une réaction pas piquée des vers ;-) "

~15/04/2019 :
Commentaire de J-P. Petit :
"tant que je ne pourrai pas présenter mes travaux à l'IHES je ne finaliserai aucun des quatre papiers qui étaient en cours:
  • Ralentissement des sondes Pioneer par la présence de la masse négative 
  • Description de l'ère radiative de Janus 
  • Modèle de galaxie 
  • Brisure de symétrie Janus"

19/04/2019 :
Commentaire de J-P. Petit après l'observation de M87:
"Les internautes attendent depuis des jours mon commentaire au sujet de cette image de "trou noir géant". 
C'est une image en fausse couleur, qui exploite des données issues de la radioastronomie dans les longueurs d'onde de 1 mm.  Qu'est-ce que cette image nous "dit" ? Qu'il y a une émission importante en périphérie, alors que la partie centrale est peu émissive. 
Deux objets peuvent produire ce type d'image. 
  • Un "trou noir" et la frontière de celui-ci a alors pour rayon de "rayon de Schwarzschild". La vitesse d'orbitation circulaire autour de cet objet est alors ... la vitesse de la lumière. Les électrons, circulant dans le "disque d'accrétion" émettent alors du rayonnement. La partie centrale est totalement et strictement non émissive car la lumière ne peut s'en échapper. 
  • Soit c'est ce à quoi il faut bien donner un nom, par exemple "un corps subcritique", dont le rayon est 0.94 fois le rayon de Schwarzschild. Ce n'est alors pas un trou noir, mais comme la vitesse d'orbitation circulaire est proche de c , les électrons émettent aussi du rayonnement. La partie centrale émet du rayonnement, mais qui est fortement "redshifté". Elle apparaîtra donc "sombre".  

Pour moi cet objet correspond à une masse qui se maintient en état de sous criticité en inversant toute masse en excès en l'inversant à coeur et en l'expulsant hors de l'objet. Voir mes vidéos Janus. Comment faire la distinction ? 
  • Si c'est un trou noir dans la partie centrale il n'y aura aucune émission. 
  • Si c'est un objet subcritique, il subsistera une émission de faible énergie. 
Cette distinction n'est pas possible actuellement.  
 Dès 1916 Karl Schwarzschild avait calculé, dans son second article, qui a été seulement traduit de l'Allemand en 1999 et qui est de fait peu connu, y compris des "black hole men" que quand le rayon de cet objet massif atteignait ~0,94 R(indice rho) la vitesse de la lumière devenait infinie en son centre. La pression devient aussi infinie. Pour un physicien "il doit se passer quelque chose". Selon moi ce sont les conditions d'inversion de la masse en ce point. L'objet fonctionne comme une ... chasse d'eau, qu'on ne peut jamais faire déborder et la criticité (rayon = Rs de Scharwzschild) n'est jamais atteinte. Il ne se forme pas d'horizon ou de "singularité centrale". 
Voir dans mon site les vidéos Janus 25-1 à Janus 25-5 La première : https://www.youtube.com/watch?v=FMtfbUX5q4E&t=779s [NDR: et en particulier https://www.youtube.com/watch?v=glepnXSkiyE&t=1448s publié le 29/09/2017]

Il reste la question, non résolue, de la formation de ces objets de très forte masse. 
En 1997 j'ai avancé un mécanisme assez différent des schémas classiques. J'invoque, dans mon modèle Janus, une "fluctuation conjointe des deux métriques". Il y a dans le modèle Janus un "effet de masse apparente". 
  • Quand ces fluctuations extra-cosmologiques vont dans le sens d'une baisse de la densité apparente de la masse négative entourant une galaxie, le confinement de celle-ci se trouve compromis et elle se disloque. On obtient alors le bestiaire des "Galaxies irrégulières", voir le catalogue de Halton Arp (dont on [NDR: la cosmologie classique] n'explique pas l'existence). Des fluctuations qui ne peuvent survenir que dans une géométrie "Janus".  
  • Si au contraire cette masse apparente se renforce il se créé une onde de densité centripète dans le gaz (galaxies de Hoag). Cette matière converge vers le centre galactique. Comme toute onde de densité dans le gaz (comme la structure spirale) celle ci crée des étoiles jeunes, qui émettent en UV et ionisent l'objet (sphère de Stromgren) . C'est pour cela que cette onde devient visible. 
Ce gaz ionisé piège alors le faible champ magnétique de la galaxie et rassemble ses lignes de force (effet de nombre de Reynolds magnétique élevé) comme le ferait un moissonneur avec une botte d'épis de blé. Ce champ passe alors d'un microgauss à des milliers de teslas.  
Quand cette masse gazeuse atteint le centre galactique, son énergie cinétique se mue alors en chaleur et les conditions de Lawson sont atteintes dans toute la masse, d'un coup. On obtient alors un quasar.


 Le plasma produit par la fusion est alors émis préférentiellement selon les deux directions du dipôle magnétique. D'où des jets. 
Ce plasma est alors accéléré pour le gradient de champ magnétique. Cette structure magnétique se comporte comme un fantastique accélérateur de particule naturel, d'une longueur de 100.000 années lumière. D'où les énergies des ... rayons cosmiques
Si on plottait la loi de Hubble, s'appuyant sur les galaxies à noyaux actifs et sur les galaxies irrégulières, les constantes de Hubble qui s'en déduiraient devraient être différentes." 

24/04/2019 : Janus 22.6 :  est-ce la première image d'un trou noir géant ou d'un objet subcritique ? Tout premier modèle de quasar.
Two days later, Janus 22.6 English version : first ever image of a giant black hole or a subcritical object? First ever quasar model.

2/05/2019 : 
Les débats sur Janus avec un minimum de fond scientifique sont encore extrêmement rares sur internet. On peut citer quelques occurences :
  • Les commentaires échangés entre Alcyon et flux_capacitor suite à l'article sur Agoravox fin février 201, ou sur le forum NSF,
  • qu'il faut bien distinguer de la page de discussion de l'article "Modèle bimétrique" sur wikipedia FR, où les administrateurs qui interviennent ne laissent pas se dérouler la discussion et prennent de manière systématique un violent parti-pris de censure, de mauvaise foi assumée et de violation répétée des règles internes de wikipedia FR, sans dissimulation et en toute impunité (jusqu'à présent). Ce type de comportement délétère se répète avec la même petite côterie sur la page pour Trou noir. On retrouve ce comportement absurde et contradictoire sur wikipedia en anglais, puisqu'il y est importé par un tout petit nombre de francophones.
2/05/2019 :
Interview sur NureaTV : « Objet M87 : Trou Noir ou pas ? » avec Jean-Pierre Petit (durée: 2h33)

13/05/2019 : émission L'heure des Pros sur CNews  avec J-C Bourret pour la présentation du livre Contacts cosmiques.

27 au 31/05 2019 :
Participation de J.P. Petit au colloque Souriau 2019 en présence de Marc Lachieze-Rey et Damour... ! Cette participation a été scandaleusement annulée par les organisateurs, sans explications. Plusieurs vidéos et PDF ont été diffusés par Petit au sujet de la communication qu'il comptait y faire sur ses travaux conduisant à la métaphysique théorique.
  • version en français du 15/05 : "Une mécanique symplectique complexe". Communication au colloque donné en l'honneur du mathématicien Jean-Marie Souriau. [6 juin 2019: Erratum : reformulation d'un détail d'une démonstration, ce qui ne change pas le résultat qui avait été obtenu et publié]
  • 05/15 video, english version. PDF.
  • version en français du 10/05 : video ; PDF.
23 au 29 juin 2019 :
communication orale acceptée au colloque Friedmann à Saint-Petersbourg (Russie) : "Mass inversion through the Schwarzschild sphere" ; suite à un revirement tardif de la part des organisateurs, J.P. Petit a ensuite annulé sa participation à ce colloque.